Films
Trois temps après la mort d’Anna
Générique
- Interprètes
- Guylaine Tremblay ,
- François Papineau
- Direction de la photographie
- Michel La Veaux
- Direction artistique
- Caroline Alder
- Costumes
- Caroline Poirier
- Son
- Marcel Chouinard ,
- Martin Allard ,
- Simon Gervais ,
- Bernard Gariépy-Strobl
- Montage
- Natalie Lamoureux
- Musique
- Robert Marcel Lepage
- Scénario
- Catherine Martin
- Réalisation
- Catherine Martin
- Distribution des rôles
- Marie-Jan Seille
- Production exécutive
- Lorraine Dufour
- Production
- Claude Cartier
- Distribution
- K-Films Amérique




Après la mort tragique de sa fille, une femme se réfugie dans la maison de ses ancêtres maternels en Kamouraska. Anéantie de douleur, elle ne veut plus vivre. Elle est sauvée in extremis par un homme. La présence bienveillante de cet homme et la beauté de la nature environnante l’aident à retrouver le désir de vivre.
« Il y a beaucoup de douleur dans le nouveau film de Catherine Martin. Une douleur silencieuse, qui ne peut qu’être reconnue de l’intérieur. L’auteure cinéaste s’y immisce avec patience et délicatesse, sans ne jamais rien forcer, au gré d’une mise en scène attentive et dépouillée. […] Trois temps après la mort d’Anna fait partie de ce genre d’œuvres qui marquent les esprits. Et vous hantent bien après la fin de la projection. C’est très beau. »
« Contemplatif, élégant et remarquablement filmé, Trois temps après la mort d’Anna est un émouvant portrait cinématographique, par l’une des meilleures réalisatrices du Canada. »
« Ainsi, en campant l’action de Trois temps après la mort d’Anna à Kamouraska au coeur de l’hiver, la réalisatrice revisite la terre de nos ancêtres tout en évoquant les plus belles scènes de notre cinéma à l’époque où les cinéastes, tels les Perrault, Jutra et Carle, osaient affronter la blanche saison. Qui plus est, par sa volonté d’illustrer frontalement la douleur de la protagoniste, d’adopter un rythme contemplatif et d’économiser le verbe, Catherine Martin semble faire écho à d’illustres artistes d’ailleurs, dont Bergman et Dreyer. »